Le
Théâtre du de Saint-Pierre du Perray présente :
George
Dandin de Molière
Mise
en scène : Fiacre
Assisté
de : Caroline MAYDAT & Matthieu MIENS
Costumes
: Caroline MAYDAT
Création
lumière : RICO
Décors
: Sylvain LANGLADE & RICO
Photo
et affiche : PROMOCONCEPT
Avec :
George
Dandin : Fiacre Angélique : Caroline MAYDAT Monsieur de Sotenville :
Matthieu MIENS Madame de Sotenville : Jade COLLINET Clitandre :
Christophe COUTURIER Claudine : Delphine RACLET Lubin et Colin : Sylvain
LANGLADE Rod Serling (en alternance) : Gilles COUTURIER Michel
VERTALLIER La Mort : Camille RAMBUR Monseigneur Haliniak : R !CJ
La
scène se passe en province, au XVIIème siècle…
George
Dandin
Je
suis marié, nom de Dieu, je suis marié!
Ben
oui, c'est vrai, quoi, je suis marié, les autres, ils sont pas comme
moi depuis qu'ils se sont mariés.
Non,
mais quand on y pense, c'est vrai, les autres paysans, mes copains
d'enfance, ils sont mariés, eux aussi, moi j'ai été le dernier à me
marier, et, bon, enfin… Je veux dire, euh, ben, ils sont heureux.
Ouais
ils sont heureux, ils ont une bonne femme comme on les trouve de part
chez nous, des hanches larges, des gros nicho…. Euh, une belle
poitrine, une bonne ossature, non parce que les os fins, c'est bon dans
les chambres à coucher, mais pour ramasser les carottes… Enfin, bon…
C'est une femme quoi, elle travaille et elle fait ce que fait une femme,
quoi, enfin elle fait ce que DOIT faire une femme ! Les autres femmes
sont déjà grosses ! elles vont donner un héritier, c'est important
ça les héritiers pour la terre, c'est quand même important ! Elles
sont grosses ! elles sont grosses, et si elles sont grosses, c'est
qu'elles bais… c'est qu'elles font leurs devoirs de femme !!! ah, ben
oui, ça, ça fait aussi partie des devoirs d'une femme !
Ben la
mienne… elle est belle, ah ça ! elle est belle ! Tout le monde me l'a
dit le jour du mariage ! elle est belle ta femme !!! ouais… elle est
belle… mais bon, c'est pas pour ça qu'elle fait ses devoirs de femme
!... Pourtant, on est marié ! J'ai le droit maintenant, non ? Et ben ma
femme, c'est comme Marie dans les églises, elle est vierge et elle est
en pierre ! Donc elle le reste…
Mon
père me disait que les femmes ont une araignée dans la tête ! Ça
doit être vrai, c'est peut-être cette araignée qui fait que ma femme
a mal à la tête dès qu'elle s'allonge… C'est vrai c'est dangereux
une araignée… C'est bizarre, qu'elle en ai une comme ça. De toutes
façons avec les femmes…
Quand
j'y repense, ça m'embête que les autres trouvent que ma femme est
belle… Ouais, c'est ça, ça m'embête… Je me méfie de ces regards
sur ma femme, on ne sait jamais, des fois, même ceux qui se disent vos
amis peuvent vous donner des cornes.
Mais
bon, même si elle aime bien être regardée, pas par moi c'est bizarre,
je crois pas que ma femme puisse me faire cocu. Elle aime pas ces
choses-là… C'est vrai, si elle aimait ces choses-là, elle ferait ses
devoirs, non ? Elle en a un homme, un vrai, hein ? Ben si…
Heureusement
qu'on est marié, sinon je me demanderai si elle m'aime…
Angélique
Ne me
condamnez pas trop vite, et mettez-vous un peu à ma place.
Je
suis une jeune fille élevée dans le raffinement, habillée de
dentelles et de rubans, et comme toutes jeunes filles ayant appris
l'amour dans les livres, j'attendais le prince charmant : Cet homme qui
m'aurait fait vivre comme une princesse, me couvrant de fleurs et de
mots tendres, me récitant son amour à longueur de journée sans jamais
s'en lasser…
Tout
un programme ! N'est ce pas messieurs ?
Au
lieu de cela me voilà transformée en monnaie d'échange : mes parents
me livrent au plus offrant. Je deviens donc la femme d'un homme que je
n'ai jamais vu avant cela, qui n'aura eu besoin que du consentement de
mes parents pour décider de mon avenir, qui n'aura pas jugé utile de
me séduire et encore moins de me demander mon avis. Un paysan ! Un
George Dandin ! Un homme dont la délicatesse est égale à celle d'un
taureau face à une vache, d'une grossièreté sans pareille en paroles
et en actes.
L'eau
de rose et le fumier ne font pas bon ménage.
C'est
décidé je vais me venger ! Si le prince charmant dont je rêvais n'est
pas mon mari, ce sera donc un autre : J'écouterai par la bouche de qui
voudra ce que je rêve d'entendre ! George Dandin ? Qui s'en soucie? Mes
parents le méprisent autant que moi, il me sera très facile de leur
faire prendre mon parti.
Et
s'il s'en mêle, ce paysan va regretter d'avoir dis " oui " !
Clitandre
L'amour
est comme un champ de bataille. Une lutte où seuls les plus rusés
triomphent.
Pour
ma part, il s'agit plus d'un jeu dans lequel il faut savoir bluffer.
Cela nécessite d'avoir de l'esprit, et il en faut lorsque l'on est
assisté d'un laquais aussi brillant qu'une nuit sans lune… Qu'à cela
ne tienne, je les aurais toutes ! Peu m'importe qu'elles soient nobles
ou servantes du moment que j'arrive à mes fins.
Et ce
n'est pas ce rustaud de Dandin qui va m'arrêter !
Qu'il
y vienne et nous verront qui, du paysan ou du gentilhomme l'emportera.
La
jeune Angélique tombera dans mes filets, un point c'est tout !…
Et
puis Claudine aussi…
Monsieur
de Sotenville
Suis-je
connu de vous ? Je m'appelle le baron de Sotenville. Mon nom est connu
à la Cour et le Roi rit quand il écoute mes exploits. Je suis fier de
ma noblesse et fier de mes ascendants.
Tout
commença avec le premier baron de Sotenville, Enguerrand. Dernier fils
d'un favori du Roi Charles III dit le Simple, il fut nommé baron d'une
ville si intelligente par rapport à lui qu'il fut nommé "le baron
le plus sot de la ville ", un sot-en-ville.
Mais
nous sommes très intelligents maintenant, à l'image de mon ancêtre,
du XIIIème siècle, Charles de Sotenville, qui réussit, brillament, à
comprendre les mouvements des pions du jeu d'échecs au bout de trois
ans, alors que son père et son grand-père en ont été incapables
toute leur vie durant ! C'est un preuve évidente de progrès
intellectuel ! Depuis mon illustre ancêtre, tous les barons de
Sotenville s'efforcèrent de n'avoir qu'un enfant. En effet, Charles, le
penseur de la famille comme vous l'avez compris, eu le raisonnement
évident que toute l'intelligence devait se concentrer sur un seul
enfant. S'il y avait deux enfants, il y aurait deux cerveaux et donc une
intelligence divisée en deux ! Une autre raison de l'enfant unique : la
chasteté, la famille n'a jamais été très adroite du point de vue
sexuel.
Outre
l'intelligence, notre principale qualité est la bravoure :
Ainsi
mon aïeul, Bertrand de Sotenville vendit tous ses biens, vêtements
compris, pour faire fortune au Québec. Curieusement, il finit pauvre…
Mon
père, Jean-Gilles de Sotenville, s'enrôla dans l'armée contre la
rebelle de Montauban. Se blessant accidentellement au derrière avec son
arme, il ne put assister qu'en spectateur au grand siège de la ville.
Assister à un siège assis sur un siège, j'ai trouvé cela d'une rare
intelligence et ne peux retenir une larme devant ce bel esprit.
Je mis
longtemps pour réussir à lire et à écrire, mais ma sage mère,
Gertrude de Sotenville, née Villagidio me répétait souvent : "
on écrit plus difficilement sur la pierre que sur le sable, mais ça
reste plus longtemps. "
Adulte,
je rencontrai la femme de ma vie, Jacqueline de la Prudoterie. Je ne
compris pas tout de suite pourquoi je me sentais attiré vers elle ni ce
qu'elle me voulait, mais au bout de quatre ans de rencontres et de
réflexions, nous nous mariâmes. Quinze ans plus tard (je rappelle que
nous sommes très chastes) naquit ma fille unique, Angélique. Nobles
mais très pauvres, nous dûmes la marier à un riche paysan, George
Dandin. C'est un roturier, je sais, mais nous n'avions pas le choix…
L'argent de mon gendre nous remis sur pieds, et je pensais que tout
désormais irait pour le mieux…
Jusqu'à
aujourd'hui…
Madame
de Sotenville
Jour
de Dieu ! Vous ici, quelle idée charmante ! Avez vous ouï, dites moi,
cette affreuse affaire qui nous secoue depuis peu ? Non ? Alors
laissez-moi vous conter le fait. Tout commença le 18 juillet 1649 quand
on me présenta au beau, brave et fringuant baron de Sotenville. Je
tombai immédiatement sous son charme inné. Mais naturellement je me
dérobai, ainsi qu'il convenait, à ses avances et lui refusai mes
faveurs.( Je ne m'appelle pas De la Prudoterie pour rien !) Après
quatre merveilleuses années au cours desquelles nous parcourûmes
jusqu'aux moindres recoins de la carte du Tendre, nous nous mariâmes en
grande pompe. La splendeur de la cérémonie n'eut d'égal que son coût
: le mariage nous laissa ruinés… mais comblés : le Roi lui-même
avait béni notre union ! À peine quinze ans plus tard, naquit notre
première enfant, si douce et belle, si candide et si innocente que nous
la baptisâmes Angélique dans la plus pure tradition de chasteté qui
par tout temps a fait la gloire de ma famille. Nous conçûmes pour elle
de grands projets dont la réalisation s'avéra plus compliquée que
prévu en raison de notre ruine… d'où il tient qu'elle ait reçu pour
époux l'homme qu'on lui connaît aujourd'hui.
Mon
mari, déterminé par une obscure tradition familiale dont je n'entends
goutte, décida qu'Angélique serait aussi l'unique gardien de notre
amour. Je crois que sa pensée est que l'intelligence se concentre sur
un seul et unique enfant, les autres étant par la même condamnés à
n'être que des sots, comme le furent, hélas, les malheureux ascendants
de mon époux qui, quant à lui, a brillamment pris sa revanche sur son
nom…
Nous
autres de la Prudoterie avons une autre philosophie, introduite par la
très illustre Jacqueline dont je suis l'indigne homonyme. Elle avait
ainsi coutume de dire que les femmes ne devaient pas se mêler de
politique mais se préoccuper seulement d'être belles. Je répondis
donc à mon époux qu'à ce qu'il me semblait, l'intelligence ne pouvait
tout bonnement pas se fixer forcément sur le premier né puisque, toute
intelligente qu'elle soit, elle devait être bien incapable de prévoir
son sexe. Ainsi notre fille Angélique appartient à la gent féminine !
Mais je fis aussitôt à part moi cette réflexion qu'étant femme, donc
ravissante, je ne pouvais prétendre à égaler la puissance
intellectuelle de mon sage mari. On me fait, en effet, souvent part de
mon insolente beauté. Je le suis véritablement à ravir !
Mais…
voyez où je m'égare…
Si
vous m'en croyez, vous irez trouver monsieur mon époux qui vous contera
l'affaire mieux que je le ferai. Pour preuve de son esprit, je vous
avoue que lorsque nous parlons tous deux, il soutient la conversation à
lui seul !
Claudine
Servante d'Angélique et militante au M.L.F
"
C'est une conscience de voir une pauvre jeune femme traitée de la
façon et cela crie vengeance au Ciel. " Oui vengeance ! Et si le
ciel ne nous aide pas, ma ruse sera de bien servir ma maîtresse,
Angélique née de Sotenville. Une femme si élégante et dont l'esprit
et si plein de finesse mariée sous la contrainte à ce dindon de
Dandin. Mais Madame compte sur moi pour faire de ce mariage une farce et
je vais m'y employer de toutes mes forces.
Les
femmes sont des bijoux et l'on ne saurait mettre une pierre précieuse
dans les mains épaisses d'un vulgaire paysan. Elles s'ouvrent comme des
fleurs aux paroles des esprits délicats et romantiques, et se fanent
lorsqu'elles sont arrosées par la grossièreté d'un mari laid et
rustre.
Aucune
femme ne peut souffrir d'être mal mariée. Et, si c'est le cas, il est
de son devoir de corriger l'affront que la vie lui a fait en prenant un
bel amant dont les moments d'entretien ne sont que de doux trêves à
cette guerre.
Et
c'est en ce sens que je m'appliquerai à servir ma maîtresse et à
faire de ce pendard de Dandin le cocu qu'il mérite d'être !
Lubin
Je
m'appelle Lubin, j'ai 28 ans et ne connais point mon père. Quant à ma
mère, elle est morte, il y a 20 ans, d'un pied bot. Je vis au jour le
jour. J'explique le latin quoique jamais je ne l'ai appris, et, par ma
foi, je suis une personne pleine de… euh… d'esprit.
D'ailleurs,
il faut que je vous conte ce qui vient de m'arriver pour vous le
prouver.
Ce
matin, en cherchant quelques restes dans la poubelle d'une auberge, je
tombe sur monsieur Clitande qui me demande de transmettre un message à
une jeune personne qu'il a entrevu et avec laquelle il aimerait parler.
Il fallait que je fasse cela sans être vu de son mari ou d'une autre
personne, et il me donne trois pièces d'or pour cela.
En
plus de l'argent gagné si facilement, j'ai trouvé une femme, la plus
belle et la plus maligne du monde, Claudine. Rien que d'écrire son nom,
j'ai le cœur tout tribouillé.
Tout
comme moi, elle a eu le coup de foudre dès le premier regard.
Je
pense que nous nous marierons très prochainement, vu les nombreuses
avances qu'elle me fait !
Les
décors
Ils
représentent, de gauche à droite :
La
maison de Dandin, nous pouvons remarquer que les murs sont jaunes,
couleur qui est, par excellence, celle du cocu. Des cornes de cerf
ornent la porte d'entrée. Un balcon sous lequel est posé un banc,
s'ouvre sur une cour, attendant la sérénade pour la femme qui y
habite.
En
face, la maison des Sotenville avec ses deux portes, l'une destinée au
mari, l'autre à sa femme. La fenêtre côté jardin représente la
chambre de Monsieur, et côté cour, celle de Madame.
Ces
décors ont été faits dans des panneaux de contreplaqué de 2m50 sur
1m recouverts de papier-peint.
La
fontaine, quant à elle, permet à Dandin de garder la tête froide
lorsque Lubin lui apprend qu'il est cocu, elle est réalisée avec un
tonneau en plastique.
Une
vielle barrière de bois symbolise la séparation entre la vie de Dandin
et le mal (Clitandre) qui y est apparu.
Nous
remarquerons tout au long de la pièce trois éclairages différents,
correspondant aux moments de la journée, acte un, le matin, acte deux,
le midi, acte trois la nuit.
Remerciements
Le
Théâtre du Pax de Saint-Pierre-du-Perray tient à remercier tous ceux
qui lui ont permis de monter ce spectacle :
L'Association
Promoconcept de Saint-Pierre-du-Perray, www.perray.com L'Imprimerie
Willaume Egret, 6, ruelle du Vieux Marché, à Saint-Pierre-du-Perray,
La Brocante Saint-Spire, 63, rue Saint-Spire, 91100 Corbeil-Essonnes, La
société de distribution La Flèche Bricomarché de
Saint-Pierre-du-Perray Et notre ville, Saint-Pierre-du-Perray, et ses
services…
Avant
le spectacle
À
tous les cocus, Mes frères, il paraît que c'est de notre faute !
Vol
en-dedans d'un nid de cocus
Personnage
de farce traditionnel, le cocu fait rire, rassure (parce que lui est
trompé par sa femme et pas nous !) et plonge le spectateur, en
général masculin, dans une position relativement sadique. Il amuse par
sa situation déshonorante et son ridicule donne la part belle à sa
femme et, surtout, à l'amant. On se gausse du cocu, plus risible s'il
est homme, on se flatte de s'identifier au galant, fourbe et plein
d'esprit, pour le sexe fort et on pioche des idées d'intrigue pour le
sexe faible. Des antiques à Molière, de Labiche à Feydeau, de Guitry
aux placards chers au théâtre de boulevard, le trio amoureux ne cesse
d'amuser, jouant sur des ressorts de literie dramatiques toujours neufs
malgré la fréquence des intrigues. Mais George Dandin pose un
problème.
Sommes-nous
en face d'une farce, d'une comédie ou d'un drame conjugal ?
Certains
metteurs en scène se sont essayés à une lecture plus tragique de la
pièce en représentant un Dandin tyran domestique et une Angélique
victime. Même s'il reste évident que la dénonciation des mariages
forcés est une récurrence chez Molière, le propos principal, sur
George Dandin semble être tout autre. Faire de cette pièce une
tragédie risquerait de rendre hors-sujet des personnages chers à la
farce comme Lubin et Claudine que l'intrigue met en avant. Ainsi, une
telle lecture bien que fort intéressante passe à côté d'un point
primordial, celui de la comédie, toujours utilisée comme alibi pour
représenter l'homme dans ses travers. La pièce tourne autour d'un fait
Dandin est cocu, du moins par la pensée, et sa femme est fourbe. Là
où cette comédie sort des sentiers farcesques, c'est bien dans ces
personnages eux-mêmes, Dandin est rustre, mais sincère, il est marié
et son désir de fidélité et de reconnaissance demeure juste.
Angélique, elle, mariée de force à un homme qu'elle rejette, est
compréhensible dans sa révolte autant que dans ses désirs. En faire
une garce serait réducteur et faux. Angélique, contrairement à
Harpagon, dont l'amour pour l'argent ne souffre aucune circonstance
atténuante, n'a pas de vice gratuit. Il fallait que le ridicule passe
dans les personnages eux-mêmes plutôt que dans leurs intentions, afin
de donner la part qu'il leur revient aux ridicules réelles, les valets,
les Sotenville (dont le nom reste un jeu de mots) et Clitandre, jeune
premier pervers à la recherche du moindre jupon. La vie et la situation
de Dandin sont horribles, dignes de figurer dans la Quatrième
Dimension. Prisonnier du mépris et des railleries de tous, coincé dans
une maison inhabitable qu'il défend contre un adultère de l'intérieur
et de l'extérieur, voisin de beaux-parents aveugles volontaires, le
repos lui est interdit, la justice également. L'issue serait-elle dans
le puits posé sur la place ? Ici le texte et les costumes restent au
XVIIème siècle, les anachronismes n'existent que pour traduire plus
efficacement les intentions et les folies…
Trouverons-nous
le talent de vous en faire rire ?
Article
rédigé par le metteur en scène : Fiacre
Prix
des places :
Réservations
Théâtre du Pax 01.60.89.06.71 - 06.30.48.47.39 |